Le SPIP 49 à la recherche d’un cap
Le bateau SPIP 49 tente de naviguer au gré des vents et des tempêtes, mais visiblement il n’y a pas de commandant à bord !
Après avoir subi une valse de DFSPIP depuis plusieurs années, le SPIP 49 aspire à davantage de sérénité.
Or, malgré les objectifs affichés par la direction, à savoir, favoriser la cohésion d’équipe et le bien être au travail, les actes semblent contredire les intentions.
Aujourd’hui, c’est toute l’équipe du SPIP, MO comme MF qui est victime d’un management peu clair et désordonné ! On ne peut que déplorer l’absence de projet clair de service. Au quotidien, la désorganisation du service génère une insécurité au travail grandissante pour toutes les catégories de personnel (plannings qui changent sans cesse, sans que les collègues ne soient prévenus, obligeant à réorganiser sans cesse les agendas, problèmes dans la gestion du parc automobile laissant des collègues sans solution, compteurs Origines souvent bloqués etc…)
Ce constat va au-delà d’un simple ressenti, les décisions ou plutôt l’absence de décision, la communication maladroite et confuse, créent de l’incompréhension et du stress au sein des équipes, et au delà du SPIP, laisse craindre une décrédibilisation de notre service.
Nous avons été patients et collaboratifs, mais nous ne sommes plus dupes de la pseudo- concertation affichée. Lors de précédents CTS nous avions fait écho de la forte charge de travail des collègues. Nous avions demandé des consignes de priorisation, sans aucun retour. Idem, aucune réponse à notre dernière déclaration liminaire, sans parler de l’absence de PV des derniers CTS.
Mieux, le prochain CTS est repoussé aux calendes grecques, la DFSPIP ayant oublié de noter la
date…
L’apogée de cette communication catastrophique a été la présentation du déploiement d’ADERES, projet auquel les collègues auraient pu adhérer s’il avait été pensé, anticipé, co-construit avec les professionnels. Le pôle d’actions collectives, qui aurait pu être moteur dans ce projet, en a été exclu, laissant peser sur le reste des collègues, la charge de se positionner, avec une proposition de décharge qui frise l’indécence. Voilà une manière de favoriser la cohésion de l’équipe ! Finalement, après avoir braqué toute l’équipe, la direction rétropédale, et propose un groupe de travail. Tout ça pour ça !
Ces méthodes de management diffusent un réel malaise dans le service. N’oublions pas que le SPIP 49 a connu de nombreux arrêts de travail et mi temps thérapeutiques.
Il est temps que la direction prenne ses responsabilités et fixe un cap clair !
Nous attendons des solutions concrètes pour éviter le naufrage !
➢ En intersyndicale, le 24/10/202