La liberté syndicale est un droit humain universellement reconnu et protégé, un droit constitutionnel, une valeur fondamentale consacrée par l’Organisation Internationale du Travail, l’administration pénitentiaire bafoue ce droit !
En avril 2016 dans un article « Cochez la case djihadiste » publié dans l’Humanité, notre camarade, élue CGT et collègue CPIP s’interrogeait sur la frénésie de l’administration quant au repérage de la « radicalisation ».
Convoquée par le Directeur Inter-régional de Toulouse, soumise à une demande d’explication, elle fera l’objet d’une commission de discipline le 13 décembre !
La CGT SPIP 75 s’insurge contre cette atteinte à la liberté d’expression et apporte tout son soutien à notre camarade et collègue et exige l’arrêt immédiat des poursuites disciplinaires.
Quand on touche à un militant de la CGT, on touche à toute la CGT !
A Paris, le 14 novembre 2016