AU 18/02/16 SUR LE 54 IL MANQUE TOUJOURS
AUTANT DE PERSONNELS
A Briey et à Écrouves, la formation des stagiaires est tout bonnement balayée par la charge
de travail à assumer,
A Briey les stagiaires assument chacun une permanence délocalisée et suivent de 70 à 90
mesures ! Les titulaires suivent eux une centaine de personnes à temps partiel, et jusqu’à
180 mesures !!
Sur les sites de Nancy et de Toul, aucune amélioration n’est à prévoir à moyenne échéance
Petit tableau explicatif pour ceux qui ne verraient pas le problème…
En cliquant ICI
A cette situation s’ajoutent :
– Le dédain de l’ AP qui augmente 30 000 agents et laisse 3000 CPIP de côté : Pas
d’augmentation de la prime de sujétions spéciales (PSS), ni de l’ IFPIP
– Une réalité professionnelle intenable : explosion des charges de travail, accumulation
des priorités, conditions de travail extrêmement dégradées, souffrance au travail,
ravages de la pré- affectation
Pourtant, notre rôle dans la prise en charge quotidienne des personnes placées sous main
de justice est ESSENTIEL. Nous revendiquons non pas le «droit à l’oubli» mais le droit
d’exister.
Nous exigeons une priorisation claire de nos missions en temps de pénurie, des
RENFORTS IMMEDIATS et un retour à un effectif raisonnable pour les stagiaires !
Nancy, le 18/02/2016