Dans le cadre de ce CTS, on nous demande de travailler sur un projet visant à améliorer nos conditions de travail.
La première de ces conditions reste que l’employeur doit garantir la sécurité à ses agents.
Or, pour mémoire, depuis plus de cinq ans, les salariés du SPIP d’Albertville dénoncent l’inadéquation des locaux à l’accueil des PPSMJ et à la sécurité de leurs agents.
Le déménagement du service est préconisé par l’administration mais est repoussé aux calendes grecques et ce, pour des raisons budgétaires.
Dans ces conditions, comment doit-on interpréter les propositions « d’espaces de sieste » en cours d’élaboration, alors même que le SPIP d’Albertville ne dispose pas de salle d’attente…
Face à cette nouvelle provocation, nous ne participerons pas à ce simulacre de concertation.
Albertville, 15 décembre 2014
PS : cette déclaration sera rendue publique.
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